Mille ans d'histoire

1060-2124, un millénaire à Aubervilliers

2124

Inscription au patrimoine mondial de l'Unesco du kiwi d'Auberviliers

2090

Inauguration de la Ferme Mazier, dont le terrain a été étendu au terrain de l'école primaire Serge Zaka et aux parcelles de l'autre côté de la rue Heurtault

2060

Aubervilliers est autosuffisante en écomatériaux d'isolation.

2054

Inauguration du cimetière-verger

2050

Début des discussions afin de requalifier l’A86, génératrice de pollutions atmosphériques et sonores, et la transformer en boulevard urbain sur le modèle du boulevard périphérique.

2038

Décision des habitant·es du Fort d'Aubervilliers de transformer leur écoquartier en ferme autogérée dans un contexte de crise énergétique et économique

2037

Inauguration du toit végétalisé du CIFA

2034-2085

Lancement du programme de dépollution, tout d'abord par la révolution biorégénérative. Programme de végétalisation des toits, transformation progressive des rues agricoles

2036

Adoption de la Stratégie municipale de l'Alimentation Durable

2035

Première Commission citoyenne sur l'Alimentation

2034 - 2050

Renforcement de la législation sur l'apaisement de la voirie : interdiction du transit automobile sur tout le territoire à exception des seules routes départementales (première commune d’île-de-France à le faire), installation de parkings vélo et vélo cargo sur la voirie dans chaque quartier de démocratie participative et de développement local autour des écoles, création de 2 parkings vélo souterrains.

2033

Lancement du Fonds national de réhabilitation des sites pollués Vote de la loi de lutte contre la gentrification De nombreux sols urbains ayant été pollués par des décennies d’activités polluantes, le Parlement a voté, après une année de bataille politique, la mise en place d’un Fonds de réhabilitation des sols pollués alimentés par les grandes entreprises dont l’activité avait un impact néfaste sur l’environnement. Les parlementaires avaient adopté dans la même session une modification de l’article L. 110-1 du code de l’environnement qui inscrivait, au même titre que l’eau, les sols et leurs qualités au sein du patrimoine commun de la Nation. Ce fonds a permis le financement de la dépollution des sols albertivillariens par la phytoremédiation, à base de chanvre et de lin. Ces plantes ont elles-même été utilisées à grande échelle pour l’isolation des bâtiments sur le plan national.

2032

Décision de la municipalité d’interdire totalement l’accès aux voitures de 10% des rues de la ville

2032

Election de la première femme présidente de la République, issue d'un mouvement citoyen et originaire d'Aubervilliers. Mise en oeuvre du programme national de la Ville du Tiers, élément fondateur de son programme électoral Aubervilliers fut la ville pionnière du programme de la Ville du Tiers, un projet lancé à l’échelle nationale en 2032 par la présidente de la République issue d’une représentation citoyenne, élue à la surprise générale. Son programme de relocalisation alimentaire s’appuyait sur des recherches menées quelques années plus tôt par un groupe d’étudiant·es en urbanisme. Ce programme a incité les villes à consacrer un tiers de leur surface à la production alimentaire pour la population locale. Ce programme a ainsi favorisé les circuits courts et une alimentation plus saine et qualitative pour les populations.

2031

Création sur le Campus Condorcet du centre de Recherche et de valorisation des Savoir-Faire Agricoles, incluant un laboratoire des communs urbains.

2029

Début de la massification du fret alimentaire via le Canal St Denis

2024 - 2034

Politique ambitieuse d’apaisement et de ralentissement de l’espace public : élargissement des trottoirs, limitation à 30 km/h sur l’intégralité du territoire (sauf départementales), dès 2029

2024

Premières réflexions sur la capacité nourricière de la ville d'Aubervilliers par la Ville du Tiers par un groupe d'étudiant·es de l'Ecole d'Urbanisme de Paris

1821

Ouverture du canal Saint Denis

1792

Délimitations de la commune d’Aubervilliers

1699

Premier document attestant l’existence de la ferme Mazier, 70,rue Heurtault.

1221

Guillaume Bateste, premier seigneur du Vivier les Aubervilliers. Il contribue à développer le village par la création d’hostises (dépendances concédées à des paysans libres, tenanciers à charge de défrichement, et moyennant un cens et des services allégés).

1060

Donation de terres au Prieuré de St Martin des Champs par le roi Henri 1er.